DYLAN ♦ love is not a victory march... it's a cold and it's a broken hallelujah...

PSEUDO

GANNON, DYLAN Francesca

H A B I T A N T S

tell me about it, stood

Dylan Francesca, est née le 19 novembre 1985, a 25 ans. Maman et papa ont toujours voulu l'appeler comme ca, allez savoir pourquoi ce devait être très à la mode il y a quelques années. Elle est né à Viewston, et c'est parce que son divorce vient juste d'être prononcé qu'elle sera seule le jour de la Saint Valentin. Difficile de donner un surnom à Dylan, vu que son prénom ne s'y prête pas vraiment. Alors tout le monde l'appelle juste Dylan, sauf sa mère qui l'appelle "ma chérie" et son père, qui l'appelle toujours "ma puce" comme quand elle avait 5 ans. Elle est avocate, tout simplement parce que c'est sa passion, et elle vient d'être engagée dans un cabinet de Viewston même si en fait, elle préférerait gagner au loto et ne rien faire. Ses amis (non, personne ne rigole je vous prie) l'aiment comme elle est, après tout, eux n'y peuvent rien si Dylan est très extravertie, marrante, perfectionniste, sociable, franche et un peu folle parfois. Mais, comme on ne peut pas avoir que des qualités, il faut aussi préciser que Dylan est impulsive, gourmande, têtue, curieuse et stressée.

‘‘ Les héros sont ceux qui magnifient une vie qu'ils ne peuvent plus supporter. »

everyone hides a secret

▌ CE QU'IL Y A DANS TES POCHES; Dans mes poches ? Rien. Tout est dans mon sac à main. Et, puisque vous voulez vraiment le savoir, dans mon sac à main, il y a mon portable, mon agenda, mon portefeuille, un stylo, des chewing-gums, deux ou trois barres de céréales, une bouteille d'eau, des caramels, mes lunettes de soleil, du maquillage et un bloc-note, au cas où ! Il doit rester quelques cachets contre les maux de tête dans le fond de mon sac aussi. Enfin, ca c'est pour ce dont je me rappelle ! Comme tout le monde le sait, un sac à main, c'est plein de bazar et on y retrouve toujours des trucs dont on se rappelait même pas l'existence.
▌ TOUT NOIR ou TOUT BLANC; J'ai toujours pensé que personne ne pouvait être tout blanc ou tout noir. Chacun a en lui des tas de nuances de gris qui se révèlent en fonction de ses actes. On ne peut jamais être tout blanc, chacun commet des erreurs, volontairement ou non. Mais l'important c'est d'apprendre de ces erreurs pour éviter de les refaire plus tard. Je ne pense pas non plus qu'on puisse être complètement noir... ce que je veux dire par là, c'est qu'aucun être humain ne peut être mauvais à 100%, il y a forcément un peu de bon en lui quelque part ! En tout cas, c'est ce que j'ai toujours pensé mais plus le temps passe et plus je me dis que certaines personnes sont peut-être définitivement mauvaises, après tout. Mais c'est peut-être aussi mes études et le métier que j'exerce qui font que j'ai commencé à changer d'avis... En ce qui me concerne, je ne suis pas parfaite donc je me vois plutôt comme étant gris clair.
▌ LA SOIREE PARFAITE A TES YEUX; Si j'avais été encore mariée, je suppose que je vous aurais dit que la soirée parfaite, c'était une soirée avec Marshall, peu importe l'endroit, au restaurant, à la maison ou au cinéma. L'important aurait été qu'on soit ensemble mais, disons que ma vision des choses a beaucoup changé ses derniers temps... En ce moment, ma soirée parfaite consiste à sortir m'amuser avec des amis et à profiter de la vie ! Ce qui fait une soirée parfaite, ce n'est pas l'endroit où on se trouve mais les gens avec qui on passe cette soirée, selon moi.
▌ CE QUI TE REND DIFFÉRENT; vous ne trouverez pas deux personnes comme moi sur Terre et je ne dis pas ça pour me vanter, c'est juste logique, à moins de trouver mon parfait sosie, personne ne peut me ressembler à 100% donc je suis forcément différente des autres. D'ailleurs, je suis prête à vous parier 500 dollars et un paquet de nounours Haribo que vous n'arriverez pas à trouver une seule personne sur Terre qui sont exactement comme moi ! Bien sûr, certains de mes traits de caractère sont communs à des millions de gens mais combien y a-t-il de chance de retrouver exactement le même caractère chez quelqu'un d'autre ? Pas beaucoup à mon avis... Ou peut-être que c'est simplement mon grain de folie qui me différencie de la plupart des gens...
▌ CE QUE TU DÉTESTE/DÉTESTAIS CHEZ TES PARENTS; On ne peut pas dire que je déteste mes parents. On s'entend plutôt bien depuis toujours même si, comme dans toutes les familles, il y a eu des hauts et des bas. Mais s'il y a une chose que je déteste chez mon père, c'est sa capacité à avoir toujours raison ! Il m'avait prévenu que Marshall me ferait souffrir et que notre histoire se finirait par un divorce... Et devinez quoi ? Il a eu raison ! Alors, là, vous allez dire que je suis de mauvaise foi et vous n'auriez pas totalement tort. En réalité, ce que je déteste c'est que, lorsque mon père me dit quelque chose, je sais qu'il a raison mais je suis trop têtue pour l'admettre et je préfères m'obstiner plutôt que d'avouer qu'il a raison et de l'écouter... Quand à ma mère, je crois que ce qui m'exaspère le plus chez elle, c'est qu'elle s'inquiète trop. Je sais que c'est parce qu'elle veut me protéger et qu'elle a peur pour moi mais, avant que je revienne vivre à Viewston, elle m’appelait tous les deux jours pour s'assurer que j'allais bien ! Et moi, j'avais surtout envie de lui dire que je n'avais plus 12 ans et que j'étais capable de me débrouiller toute seule. Heureusement, depuis que je suis revenue dans le coin, elle s'est calmée ! J'aurais aussi pu reprocher à mes parents d'avoir divorcé. Mais je me suis vite rendue compte qu'ils étaient beaucoup plus heureux en étant séparés et que ça n'aurait servi à rien qu'ils restent mariés "pour les enfants", comme on dit. Je crois que, si mes parents étaient restés mariés, on n'aurait pas été aussi heureux, parce qu'ils auraient continué à se disputer sans arrêt et ça aurait été l'enfer à la maison tous les jours !
▌ QUELLE EST LA PREMIÈRE CHOSE QUE TU FAIS QUAND TU TE LÈVES; Je me rendors ! Non, plus sérieusement, quand je me lèves, je vais brancher la cafetière puis je prends la direction de la salle de bain pour prendre une douche, m'habiller, me coiffer et me maquiller. Ensuite, je retourne dans la cuisine, et si j'ai le temps, je me sers une tasse de café et je la boit en grignotant quelques tartines de pain grillé. J'allume aussi la télé et je m'installe dans le canapé pour prendre mon petit-déjeuner. Sinon, quand je suis en retard, j'avale mon café en vitesse et je mange mes tartines sur le trajet en allant au travail.
▌ LA GUERRE ENTRE LES FAMILLES DE LA VILLE, T'ES AU COURANT, T'EN PENSES QUOI; Je suis née ici mais j'ai déménagé il y a plus de 7 ans maintenant. Je suis revenue à Viewston il y a un mois seulement alors je ne suis pas vraiment au cours de ce qui se passe en ville. Bien sûr, étant née ici, je connais l'histoire de la fondation de la ville et des trois familles mais, pour moi, c'est de l'histoire ancienne et les McLaughan, les Rodenburgh et les Castfield sont des habitants comme les autres de Viewston. Et même si j'étais au courant de cette histoire, je crois que je ne me sentirais pas vraiment concernée !

♦ elle parle couramment quatre langues : l'anglais, le français, l'espagnol et l'italien. Elle a même fait un échange universitaire de 6 mois à Florence quand elle était en dernière année à Stanford.
♦ elle cuisine bien, mais seulement des plats italiens. Du coup, elle mange des pâtes tous les jours ou presque et elle pourrait se nourrir uniquement de tiramisu, son dessert préféré.
♦ elle a une relation fusionnelle avec son frère jumeau, il est à la fois son frère, son confident et un de ses meilleurs amis. Ils étaient toujours ensemble jusqu'à la fin du lycée, jusqu'à ce qu'ils aillent tous les deux dans des universités différentes. Depuis 7 ans, ils se voient beaucoup moins qu'avant mais ils ont réussi à rester proche en gardant le contact par téléphone et par texto. Dylan est d'ailleurs l'aînée des jumeaux, vu qu'elle est née un peu plus de 5 minutes avant son frère. Elle a toujours été la plus sage et la plus sérieuse des deux jumeaux.
♦ elle a été mariée pendant un an et demi et a demandé le divorce il y a quatre mois, vu que son mari la trompait et qu'il lui faisait croire qu'il partait en voyage d'affaires alors qu'il emmenait sa maîtresse en week-end à Hawaï.
♦ elle fait de la danse quand elle a besoin de se défouler et elle prend des cours de yoga pour se détendre. Elle a aussi pris des cours de boxe et de self-défense, il y a quelques années.

my name's justin. justincredible.

♦ prénom/pseudo= Julie/Bisounours
♦ âge= 19 ans
♦ avatar= Olivia Wilde
♦ scénario/inventé= Perso' inventé
♦ f/m= f
♦ viewston, connu comment= par Lowrah alias Trukete/Cassiopéa H. Rivers
♦ et donc= Lowrah m'a parlé du fo', elle m'a envoyé le lien Bazzart, j'ai craqué sur le contexte et le design et puis, zoup, j'me suis inscrite ! Et voilà toute l'histoire ! =)
♦ autre chose= Nop', j'crois que j'ai fait le tour !
♦ code règlement=okphoe

©VIEWSTON

PSEUDO

they say we all have a story to tell

Je suis née le 19 novembre 1985, cinq minutes et 20 secondes seulement avant mon frère jumeau, à l'hôpital de Viewston, et mes parents ont décidé de m'appeler Dylan Francesca. Dylan, c'était parce que, selon l'échographie, ma mère attendait deux garçons... sauf que l'erreur est humaine et qu'à l'accouchement, ils se sont bien rendus compte que le médecin s'était planté ! Du coup, je me suis quand même retrouvé avec un prénom de garçon. Ma mère aurait voulu trouver un autre prénom mais mon père trouvait que Dylan, ça sonnait pas si mal pour une fille. Et Francesca, c'est le prénom de ma grand-mère maternelle. Ma mère est italienne et pas seulement d'origine. Elle est née à Naples et n'est venue aux États-Unis qu'après ses études. Quant à mon père, il est américain mais je serais incapable de dire s'il a des origines étrangères ou non. À vrai dire, il ne m'en a jamais parlé !

J'ai eu une enfance heureuse et relativement facile. Mes parents ont divorcé quand j'avais dix ans mais ca n'a pas changé grand chose à notre vie de famille. C'était un divorce d'un commun accord, ils ne s'entendaient plus alors ils ont pensé que le mieux était de se séparer et mes parents ont décidé de se débrouiller pour que ca ne change pas trop notre vie. Alors mon père a déménagé, mais seulement pour vivre dans un appartement à 500m de la maison. Il passait à la maison régulièrement et on allait chez lui le week-end... C'était presque comme lorsqu'on vivait tous sous le même toit, sauf que mes parents se disputaient beaucoup moins qu'avant !

Depuis toute petite, ma mère me répète que j'ai une imagination débordante et que je devrais devenir écrivain. Ça a d'ailleurs longtemps été mon rêve, j'ai même écrit dans le journal du lycée à un époque ! Au lycée, je n'étais pas exactement la fille super populaire, la pom-pom girl que tout le monde envie. J'avais mon petit groupe d'ami et ça me suffisait. Pourtant, je voyais les choses en grand et la petite ville californienne de Viewston où j'avais grandi n'était pas assez grande à mes yeux. Je voulais vivre dans une grande ville, à Los Angeles, San Franscisco ou San Diego ! Je voulais voyager, voir le monde et écrire des best-sellers au cours de mes voyages...

À la sortie du lycée, Viewston pour emménager sur le campus de Stanford. J'ai finalement décidé d'étudier le Droit parce que j'avais peur de ne pas réussir en tant qu'écrivain et je me suis rendue compte que le Droit me plaisait presque autant que l'écriture.

J'ai rencontré Marshall à Stanford, au début de ma troisième année de Droit. J'avais déjà eu quelques relations plus ou moins sérieuses, quelques petits amis au lycée et aussi des relations sans lendemain. Mais avec Marshall s'était différent, j'avais vraiment l'impression qu'on se comprenait et qu'on pouvait former un truc sérieux ensemble. On s'est rencontré à une fête organisée par l'une des fraternités de l'université, par l'intermédiaire d'amis communs. J'étais venue avec ma colocataire qui connaissait un des meilleurs amis de Marshall. On a passé la soirée sur le toit du bâtiment à discuter et à boire de la bière... On s'est raconté nos vies et on s'est tout de suite entendus. Je suis tombée amoureuse de lui très vite, trop vite sans doute. Une semaine après cette fameuse fête, on formait déjà un couple. On est restés ensemble pendant trois ans, jusqu'à la fin de nos études, avant qu'il ne me demande en mariage. Je me rappelle encore de ce qu'il m'a dit ce soir-là. « Dylan, je veux passer toute ma vie avec toi. Est-ce que tu veux m'épouser ? ». Au début, j'ai cru qu'il me faisait une blague, vu qu'il n'était pas vraiment du genre à me faire des grandes déclarations d'amour ! Et pourtant, il était sérieux et j'étais tellement amoureuse que j'ai dit oui. Trois mois après, je devenais Mme Dylan Kingsley. Mes parents pensaient que je faisais une énorme erreur, que Marshall n'était pas fait pour moi et qu'il finirait par me faire souffrir. Quant à mon frère, comme d'habitude, il me soutenait quels que soient mes choix. On a ensuite quitté Stanford pour aller s'installer à San Franscisco, d'une part, parce que c'était là que Marshall avait grandi, et, d'autre part, parce que j'avais toujours voulu vivre dans une grande métropole plutôt que dans une petite ville comme Viewston.

Un an et demi plus tard, je travaillais dans un cabinet d'avocat de San Franscisco, pas un cabinet hyper réputé mais pour une avocate débutante, c'était déjà bien. Marshall travaillait pour une grande entreprise et il partait une fois par mois en voyage d'affaires. Bien sûr, le fait que ces voyages d'affaires tombent toujours le week-end, ca aurait sans doute dû me faire comprendre que quelque chose n'allait pas. Pourtant, il a fallu que ce soit l'assistante de son patron qui m'appelle pour que je comprenne qu'il se moquait de moi depuis longtemps. Je me rappelle de ce coup de fil comme si c'était hier, c'était un samedi soir et je venais de rentrer après avoir passé une journée avec des amis quand mon portable avait sonné. « Allo ? » « Mme Kingsley, bonsoir, excusez-moi de vous déranger pendant votre week-end à Hawaï mais il faut absolument que je parle à votre mari et son portable est éteint. ». J'avais reconnu la voix de Carmen, l'assistante du patron de Marshall. Sauf qu'elle me parlait d'un week-end à Hawaï, où je n'avais jamais mis les pieds ! « Carmen, vous savez bien que Marshall est en voyage d'affaires à Chicago, c'est marqué sur son agenda depuis des semaines ! ». Malgré tout, cette histoire de week-end à Hawaï continuait à me trotter dans la tête et j'espérais vraiment que Carmen confondait juste avec quelqu'un d'autre. « Mais non, sur son agenda, il est bien noté que M. Kingsley partait ce week-end à Hawaï, comme tous les mois... ». Et à ce moment-là, il y a eu un blanc... j'avais déjà eu le temps de comprendre que Marshall n'avait jamais mis les pieds à Chicago, ni même à aucun de ses voyages d'affaires depuis plus d'un an. J'ai remercié Carmen avant de raccrocher. Elle n'a pas dû comprendre pourquoi je la remerciais, d'ailleurs... Le lendemain, quand Marshall est rentré, j'avais déjà mis toutes ses affaires dans des valises et je lui ai fait comprendre qu'il avait intérêt à quitter rapidement l'appartement. « Puisque tu l'emmènes à Hawaï tous les mois, ta maîtresse peut bien t'héberger avec tes affaires le temps que tu te retrouves un appartement !! ». J'avais eu envie de le frapper mais je m'étais retenue. Par contre, je l'avais traité de tous les noms ! Après ça, j'avais claqué la porte de l'appartement derrière lui et j'avais appelé mon frère. C'est toujours vers lui que je me tourne quand j'ai besoin de conseils ou de réconfort. Je lui ai dit que j'avais besoin de changer d'air et il m'a dit « Pourquoi tu reviendrais pas vivre à Viewston quelques temps ? ». Je lui ai seulement dit que j'allais y réfléchir...

Pendant plus de quatre ans, j'avais pensé que Marshall était un prince charmant, mon prince charmant... finalement, je sais que c'est juste un crapaud ! Une semaine après avoir découvert l'infidélité de Marshall, j'ai entamé la procédure de divorce. Marshall ne voulait pas signer mais au bout de deux mois, il a fini par signer les papiers, après avoir essayé de se faire pardonner une bonne centaine de fois ! J'ai finalement décidé de revenir à Viewston, j'ai cherché un appartement et j'ai envoyé un CV de candidature dans tous les cabinets d'avocats de la ville. J'ai vendu mon appartement, fait mes valises et j'ai débarqué à Viewston trois mois plus tard avec Cassiopéa dans mes bagages. Elle aussi avait besoin de changer d'air alors je lui ai proposé de venir avec moi. Et comme je n'ai pas gardé le contact avec beaucoup de monde en ville, à part ma famille, j'ai au moins une amie sur laquelle je peux compter !

Je suis revenue à Viewston depuis un mois, j'ai été embauchée dans un des meilleurs cabinets d'avocats de Viewston et je suis toujours en instance de divorce. Et, même si, quand j'étais adolescente, je rêvais de quitter cette ville, je dois reconnaître que je m'y sens bien aujourd'hui... Finalement, revenir ici va peut-être me permettre de me recommencer à écrire...